Uwe Karassek du labo QSI qui avec 5 autres labo en Europe utilisent la résonance magnétique nucléaire en analyse de routine des miels.
Je vous invite à regarder de près ce document qui nous parle du fait qu’un tiers seulement d’échantillons sont conformes contre 2/3 de non-conformité dans une étude portant sur près de 2300 échantillons de miels ;
Vous verrez aussi dans le pdf les excès analytiques allemand qui recherchent aussi ce qui est dans l’air du temps des préoccupations environnementales (roundup)
Ce que révèle QSI ; https://drive.google.com/open?id=0BwLRC25BOkwEYm43WkFhZ3lVYkU
- l’ampleur de la fraude,
- le fait que le contrôle des fraudes appartient à la fonction d’état, qui n’assume plus cette mission
Sur ce deuxième point, plusieurs remarques et commentaires :
- le contrôle exercé par l’état n’a certainement pas la même profondeur et amplitude quand il s’agit d’autres questions..
- comment peut on envisager un PDDA si dans le même temps l’effort de développement est ruiné par la fraude ??
Autrement dit, piloter le pdda sans s’attaquer au premier point critique qui est cette fraude si massive, c’est vider l’océan avec une passoire.
Comment accorder le moindre crédit à ce plan quant à l’intention de résoudre la crise apicole??
Dit encore de manière différente, ces constats viennent poser la question. Est-ce que l’enjeu du pdda ne serait pas non point la question apicole et son devenir mais bien l’usage qui peut être fait par les pouvoirs publics de la question des abeilles??
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