Parmi les décisions prise au niveau de l'Europe de 27, certaine semble être loin de l'agriculture
un exemple: Les PE (perturbateur endocrinien)
les normes sur les produits agricoles sont là pour nous protéger !
Comme toute substance, l'exposition est la clé pour que le bénéfice soit supérieur au risque.
beaucoup trop de lois sont prisent rapidement sur des doutes, et le retour en arrière est souvent difficile !
Pour comprendre les enjeux dans yvoir.fr du 26 mai 2017, Antonin GARNIER (AGRA Presse)
Phytosanitaires
Bruxelles tente une nouvelle fois de faire adopter sa proposition sur les perturbateurs endocriniens
La Commission européenne espère enfin convaincre les États membres d’adopter sa proposition de définition des perturbateurs endocriniens, présentée en juin 2016.
Une réunion extraordinaire du comité permanent réunissant les experts des États membres devrait être organisée le 30 mai pour procéder à un nouveau vote. Une réunion préparatoire, les 17 et 18 mai, a montré à Bruxelles qu’il était possible d’obtenir une majorité qualifiée.
Quinze auraient soutenu le projet de la Commission tandis que le Danemark, la Suède et la République tchèque continuent de s’y opposer. Les autres délégations devraient s’abstenir. Seule la position de la France, jusqu’à présent opposée à la proposition de la Commission, estimant qu’elle ne va pas assez loin, n’est pas connue puisqu’elle n’était pas présente lors de la réunion. La position française – et son nouveau ministre de l’environnement Nicolas Hulot – pourrait être déterminante pour faire basculer la majorité et donc permettre l’adoption – ou non – du texte.
La proposition de la Commission européenne pourrait conduire à ce qu'un certain nombre de produits phytosanitaires n'obtiennent pas d'autorisation de mise sur le marché lors de leur renouvellement. Mais Bruxelles prévoit des dérogations.
Quinze auraient soutenu le projet de la Commission tandis que le Danemark, la Suède et la République tchèque continuent de s’y opposer. Les autres délégations devraient s’abstenir. Seule la position de la France, jusqu’à présent opposée à la proposition de la Commission, estimant qu’elle ne va pas assez loin, n’est pas connue puisqu’elle n’était pas présente lors de la réunion. La position française – et son nouveau ministre de l’environnement Nicolas Hulot – pourrait être déterminante pour faire basculer la majorité et donc permettre l’adoption – ou non – du texte.
La proposition de la Commission européenne pourrait conduire à ce qu'un certain nombre de produits phytosanitaires n'obtiennent pas d'autorisation de mise sur le marché lors de leur renouvellement. Mais Bruxelles prévoit des dérogations.
Antonin GARNIER (AGRA Presse)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire